Fernando Copello, professeur de littérature espagnole à Le Mans université, nous présente le fonds Pizarnik de la BU, en français puis en espagnol:

Présentation du fonds Pizarnik

« La Bibliothèque de l’Université du Mans est en train de constituer un fonds Alejandra Pizarnik (1936-1972). A. Pizarnik, écrivaine argentine d’origine juive russe, a vécu à Paris entre 1960 et 1964, où elle fréquentait Julio Cortázar, Octavio Paz et André Pieyre de Mandiargues… Ses recueils de poèmes, lettres et journaux sont actuellement traduits et publiés en France par Ypsilon Éditeur, José Corti et les Éditions des Busclats. La Bibliothèque Universitaire compte, parmi d’autres volumes, les premières éditions de Árbol de Diana (Buenos Aires, Sur, 1962 ; exemplaire ayant appartenu à Saúl Aronson, secrétaire de Victoria Ocampo), Extracción de la piedra de locura (Buenos Aires, Sudamericana, 1968), ou encore El infierno musical (Buenos Aires, Siglo XXI, 1971). Un exemplaire de la revue Testigo, acheté récemment, contient une version de La condesa sangrienta avant sa parution en livre. Plusieurs numéros de la revue Sur, dirigée par Victoria Ocampo, avec des collaborations d’Alejandra Pizarnik (poèmes et compte rendus) font partie de notre collection et peuvent être consultés sur place. La traduction en espagnol de La vie tranquille de Marguerite Duras se trouve également dans notre fonds. Les premiers ouvrages critiques sur la poétesse du Río de la Plata (Bernardo Ezequiel Koremblit, Julieta Gómez Paz, etc.) ainsi que des compte rendus concernant la parution de ses premiers livres (Ivonne Bordelois, Eduardo González Lanuza, etc.) se trouvent aussi dans notre bibliothèque. Une centaine d’ouvrages de ou sur Alejandra Pizarnik sont donc à la disposition du public intéressé. Ce fonds est en train de s’enrichir. »

 

 

Immeuble rue Saint-Sulpice à Paris, lieu de résidence d’Alejandra Pizarnik dans les années 60. Photo © E.C.

Hôpital Pirovano à Buenos Aires, là où Alejandra Pizarnik a passé ses dernières semaines. Photo © F.C.

Jardins du Palais Royal à Paris, banc Alejandra Pizarnik. Photo © FC

Presentación del Fondo Pizarnik

« La Biblioteca Universitaria de Le Mans está constituyendo un Fondo Alejandra Pizarnik (1936-1972). A. Pizarnik, escritora argentina de origen judío ruso, vivió en París entre 1960 y 1964. Allí frecuentaba a Julio Cortázar, Octavio Paz y André Pieyre de Mandiargues. Sus poemas, cartas y diarios están siendo traducidos y publicados en Francia por Ypsilon Éditeur, José Corti y Éditions des Busclats. La biblioteca de Le Mans cuenta, entre otros volúmenes, con las ediciones originales de Árbol de Diana (Buenos Aires, Sur, 1962; ejemplar que perteneció a Saúl Aronson, secretario de Victoria Ocampo), Extracción de la piedra de locura (Buenos Aires, Sudamericana, 1968) y El infierno musical (Buenos Aires, Siglo XXI, 1971). Un ejemplar de la revista Testigo, adquirido recientemente, contiene una versión de La condesa sangrienta antes de su aparición en libro. Muchos números de la revista Sur, dirigida por Victoria Ocampo, con colaboraciones de Alejandra Pizarnik (poemas o reseñas de libros) forman parte de nuestra colección y pueden ser consultados. La traducción al español de La vie tranquille de Marguerite Duras se encuentra también en nuestro fondo. Las primeras obras críticas sobre la poeta del Río de la Plata (Bernardo Ezequiel Koremblit, Julieta Gómez Paz, etc.) así como también las reseñas que comentan la publicación de sus primeros libros (Ivonne Bordelois, Eduardo González Lanuza, etc.) se encuentran igualmente en Le Mans. Un centenar de obras de o sobre Alejandra Pizarnik están así a disposición del público interesado. Y esta colección se va enriqueciendo poco a poco. »

La plupart des ouvrages de Pizarnik en libre accès sont localisés au 1er étage de la BU, en salle littérature, sous la cote 868.993 2 PIZ.

Venez les consulter et/ou les emprunter !

%d
-->